
« Son premier ouvrage basé sur un terrible drame personnel, La Poupée d’Archimède, fut le déclencheur. Depuis, elle écrit des romans où la lumière traverse l’ombre, où la mémoire devient passage, où les voix qu’on a voulu faire taire retrouvent leur place. Sa plume est solide, directe, sans concession, et traduit pleinement sa sensibilité. »
Ces mots d’Alain Dartigues me touchent profondément.
Dans Et la nuit se lève, mon huitième roman, j’explore une fois encore cette tension entre silence et vérité, entre ce qui fracture et ce qui répare.